Un texte que j'ai retrouvé, et franchement, je le trouve bien écrit venant de moi XD Alors je le soumets à votre avis


Give me your avis !!! Let's go Exclusif sur le forum ! Jamais personne ne l'a lu 8]



___Finalement, ce n'était qu'un rêve. Seule dans ma chambre, je fus prise d'un fou rire énorme. Mais c'en était tellement drôle. Je rigolais jusqu'à perdre haleine ; ayant à peine le temps de reprendre mon souffle entre deux crises. Je m'étais ridiculisée aux yeux de moi-même jusqu'à me moquer de ma propre personne. Simplement hilarant, non ?? J'étais entrain de mourir au sens propre du terme. Mes rires tonitruants finirent par cesser, lentement, ma respiration saccadée ne se ralentissant pas.
___Je commis simplement l'erreur de me regarder dans le miroir. C'est terrifiant de se retrouver devant un miroir. Bien qu'il m'eut été difficile de ne pas me croiser, puisque que le miroir occupait le milieu du mur. J'aurais pu fermer les yeux, mais je me suis laissée tenter. Juste pour savoir. Une simple petite curiosité voyez-vous.
___En me croisant, mon ventre fut saisi d'un spasme énorme qui m'envoya face contre terre. Me redressant avec difficulté, je remarquais que j'étais toujours devant le miroir. Quel objet terrifiant. Une forte nausée et une sensation de mal-être s'emparèrent de moi. Lutte violente conte mon image. Je me redressais. Puis, une fois retournée dans mon lit, recroquevillée comme une enfant de 5ans ; je gémis.
___Oui, gémir comme un animal blessé. Ce qui eut pour effet d'alarmer, la personne à côté de moi. Qui sûrement grâce à mon carnage de tout à l'heure ne devait pas dormir. Effrayée, comme à son habitude, par moi. Elle eut l'infime réflexe d'appuyer sur le bouton vert. Je gémis une deuxième fois, mais là, de manière beaucoup plus agressive. Ce qui eut pour effet, de faire tressaillir de terreur ma charmante voisine. Un rire aigrelet et malsain sortit de ma bouche. Suivie de « Tu as peur de moi, hein ? »
___Je me levais, rigolant toujours. Elle se tapit dans son lit, à cette vue. Je recommençais à parler « Hunhun, peur... Elle a peur la petite voisine, très peur. Mais je ne vais rien lui faire à la petite voisine, quoique... » Ayant suivi la scène des yeux, et voyant à mon regard et mon comportement, que ça allait de nouveau se passer ; un petit cri suraigu et terrifié sorti de sa bouche. « Pourquoi encore... ? » furent c'est seuls mots. Les mêmes que d'habitude.
___Je m'asseyais délicatement à côté de l'autre fille. Lui prenant la main, je la caressais doucement. Je commençais par murmurer puis éclater d'un grand rire « Pourquoi ? Parce que ahahaha. » Je vis dans ses yeux fatigués le mince espoir qu'il ne se passerait rien. Tout à coup je m'exclamais « Ce n'est pas drôle !! » Et sans plus perdre de temps, je la frappais violemment. Je battais son magnifique visage avec une jouissance qui n'était malheureusement pas la mienne. J'eus le temps de la frapper deux, trois fois au visage avant qu'ils n'arrivent.
___Lui, avec sa blouse blanche, et les paniquées, derrière lui, arrivèrent vers moi en courant. J'hurlais à pleins poumons « Aaaaah ! Lâchez moi ! » Puis, une douleur se fit sentir dans mon bras, je vis une seringue s'en retirer lentement. Je me débattis vainement et m'écroulais sur le sol. Mes forces m'abandonnait. Sûrement. Ils me prirent par les jambes et les bras, me réinstallèrent sous la couette. Ma langue était pâteuse, aucuns sons, mots, n'arrivaient à en sortir. Je sombrais.

___Cette fille est folle, sujette à de fortes crises dangereuses pour son entourage. Mais alors pourquoi, moi, fille qui partage sa chambre, ne demanderais-je pas à changer de chambre, beaucoup se le demande. Je me tournais vers elle, suite à un faible gémissement de sa part. Qui m'avait fait frémir. Je la regardais et comme d'habitude, je vis ça.
___La tête tournée vers moi, elle me regardait. Enfin, je n'en étais même pas sûre, elle était tellement perdue. Tellement seule. Puis, je vis clairement qu'à cet instant, elle me fixait fortement. Je rassemblais mon courage et demandai « Oui ? ». Son regard se ravagea. Elle comprit. Faiblement, elle me parla avec désespoir « Tu les a appelé... encore... merci et... pardon... » Une larme coula sur sa joue et ses yeux se fermèrent comme chaque nuit à cette heure.
___Oui, voilà pourquoi, je ne peux me résoudre à partir.

Effectivement


L'effet recherché n'est peut être pas réussi j'ai peut être mal tourné ma phrase ^^ Je désigne par les paniquées, les infirmières. Mais c'est vrai que ça fait bizarre, je vois pas trop comment tourner tout ça autrement







Edit : Modifiéé. Je pense que ça ira mieux comme ça